vendredi 25 novembre 2011

Evangile du Samedi 26 Novembre 2011;


Le jour où tout sera fini pour commencer, nul ne peut le prédire.
The day's all over for a start, no one can predict.
這一天各地一開始誰也無法預測
El día que todo ha terminado para empezar, nadie puede predecir.
Dzień po wszystkim na początek, nikt nie potrafi przewidzieć.
दिन एक शुरुआत के लिए सब से अधिक है, कोई भी भविष्यवाणी कर सकते हैं.
День все кончено для начала, никто не может предсказать.

                                           
Saint Luc 21.34-36
Lc 21:34-" Tenez-vous sur vos gardes, de peur que vos cœurs ne s'appesantissent dans la débauche, l'ivrognerie, les soucis de la vie, et que ce Jour-là ne fonde soudain sur vous
Lc 21:35-comme un filet ; car il s'abattra sur tous ceux qui habitent la surface de toute la terre.
Lc 21:36-Veillez donc et priez en tout temps, afin d'avoir la force d'échapper à tout ce qui doit arriver, et de vous tenir debout devant le Fils de l'homme. "
Le jour que nous devons attendre, nul ne le connaît.

Le jour de la grande délivrance, nul ne sait.

Le jour où tout sera fini pour commencer, nul ne peut le prédire.

Et dans cette attente, où en sommes nus ?

Que faisons nous dans notre temps dit perdu ?

Que faisons chaque jour afin de nous préparer ?

Où allons nous quand nous pensons qu'il n'y a rien à faire ?

D'interrogation en interrogation, cherchons où nous en sommes .
Il y a toujours quelque chose à faire, il y a toujours quelque chose à entreprendre, et quelque soit notre âge, il n'y a pas de handicap.

Chacun selon nos capacités nous devons entreprendre.

Les soucis de la vie, ne sont que passages éphémères et petites épreuves.

Sans remettre à Dieu, dans la prière pour aujourd'hui, demain et encore d'autres demains.

Mais cela n'est pas suffisant, il y a temps de choses à faire, il y a tout a entreprendre, il y a temps à aider, il y a plus que jamais de quoi emplir chaque jour de la création et éviter de détourner notre regard et nos pensées du monde.

Bien au contraire nous devons pénétrer le monde, pénétrer ce monde dans la sapience de l'amour de Dieu.

Ne disons jamais, je ne peut rien faire.

Ne disons jamais j'ai fait.

Faisons et quoique nous fassions pour notre prochain, nous pouvons faire plus car nous n'avons fait qu'une partie de notre devoir.

Soyons comme un enfant à sa naissance, pas encore emmailloté, libre de toutes lange, et libéré du monde tournons nous vers Dieu en aimant et servant notre prochain.

Irénée de Lyon

Irénée de Lyon (en grec ancien Εἰρηναῖος Σμυρναῖος / Eirênaĩos « pacifique » Smyrnaĩos « de Smyrne ») est le deuxième Évêque de Lyon au IIe siècle entre 177 et 202. Il est un des Pères de l'Église. 

Il est le premier occidental à réaliser une œuvre de théologien systématique. 
Il rédige ses œuvres afin de présenter la doctrine catholique contre les thèses gnostiques
Vénéré comme saint, il est fêté le 28 juin dans l'Église catholique et le 23 août dans l'Église orthodoxe.
  • Le gnosticisme est un mouvement religieux regroupant des doctrines variées du bassin méditerranéen et du Moyen-Orient qui se caractérisent généralement par la croyance que les hommes sont des âmes divines emprisonnées dans un monde matériel créé par un dieu mauvais ou imparfait appelé le démiurge. Le mouvement connut son apogée au cours du IIe siècle
De culture et de langue grecque, Irénée est né à Smyrne en Asie Mineure vers 120 ou 130. Il témoigne avoir connu saint Polycarpe

Il est un disciple de l'apôtre Jean qui, vers la fin de sa vie, s'était établi non loin de là, à Éphèse et à Patmos. 
Nommé évêque de Smyrne, il remplit les fonctions de son ministère pendant environ 70 ans.

qui lui-même avait reçu l'imposition des mains de l'apôtre Jean. Saint Jérôme dit qu'Irénée fut aussi le disciple de saint Papias. 
Arrivé en Gaule vers 157, il exerça d'abord la fonction de simple prêtre, et s'associa aux travaux de Pothin, premier évêque de Lyon. 

Quand Pothin périt victime d’une persécution de Marc Aurèle, en 177, Irénée fut choisi pour le remplacer. 
Sa vie épiscopale fut alors consacrée à l'instruction des peuples et à la défense de la vérité par la lutte contre les hérésies des Gnostiques et des Valentiniens.

Son épiscopat est marqué par une forte expansion missionnaire : un grand nombre de diocèses furent fondés par des missionnaires envoyés par Irénée. 
C'est le cas de Besançon et Valence qui doivent à l'évêque de Lyon leurs premiers pasteurs.